jeudi 24 juin 2010
lundi 21 juin 2010
lundi 14 juin 2010
Poétiques de Printemps 2010 / Paris 8 à l'Epée de Bois

POETIQUES DE PRINTEMPS AU THEATRE DE L’EPEE de BOIS
14 au 20 juin 2010
L’esprit de compagnonnage dans lequel se présente cette nouvelle manifestation où le théâtre de l’Epée de Bois accueille le département Théâtre de l’Université Paris 8, renouvelle les poétiques de Printemps de 2009 quand nous célébrions les 40 ans du Centre Universitaire Expérimental de Vincennes, où les études des pratiques artistiques ont fait leur entrée dans l’Université en même temps que se créaient les différents théâtres de la Cartoucherie de Vincennes.
Lundi le 14 juin :
10h-13h Studio : Fausse/Vraie Journée d’Etudes par les doctorants du séminaire de Fanette Vendeville-avec Nadim Deaibes, Barbara Kopec, Nathalie Matti, Dimitri Rekatchevski, Ming-Hsuan Tsai
15h Petite Salle : Putain d’Utopie de Mélanie Truf, Jill Bouma et Veronica Ghio ; Par la Compagnie Babe Locura-Avec Elitsa Arsova, Jill Bouma,Veronica Ghio, Celine Moutin, Philippe Jevdjenijevic
Le texte de Strindberg avec ces personnages hauts en couleurs n’a pas perdu de sa modernité. Des jeunes comédiens redonnent le nouveau souffle à ce jeu de manipulation en pénétrant dans la violence de l’imaginaire et le raffinement de la parole du maître suédois.
Ce texte, magnifique autopsie de l’amour, se dresse contre toutes les inerties et fait chanter ensemble le corps et l’âme avec l’intelligence du cœur. Voici à quoi nous invite l’auteur dès les premiers vers :
« Et quiconque fut du désir un temps le serviteur,
Qu’il vienne prêter l’oreille à tout ce qui est ici consigné,
Prendre exemple et conseil, se pénétrer à fond,
D’un pur amour qui jamais ne déçoive ;
Car à qui son désir sans malice poursuit,
S’il connaît au début le tourment, bonne est la fin promise.
Ecoutez donc, et que comprenne qui le peut,
Afin qu’il sache ailleurs porter bonne parole. »
21h Petite Salle : Pour en finir avec le jugement de Dieu d’Antonin Artaud -Par les Compagnies Reflets Culturels & le Cercle des Miroirs aux Délices-Mise en scène par Wilfried Bosch-Avec Cédric Appietto, Wilfried Bosch, Axelle Bossard, Emmanuel Renon-Lumière :Luigi d’Aria.
C’est une Catastrophe ! Après une longue traversée à l’asile de Rodez, et le reniement de la religion, Artaud entre en révolte contre ce Père qui prétend l’avoir créé.
Mardi le 15 juin :
15h Grande Salle : Rencontre et Démonstration-spectacle des "KODO, LES MAITRES TAMBOURS DU JAPON"- Avec Motofumi Yamaguchi, Atsushi Sugano, Eiichi Saito et 8 autres artistes du KODO
19h Studio : Voix de Femmes/ Voix du Sang de Mohsen Yalfani et deux autres dramaturges iraniens, avec des poèmes de Roja Chamankar- Mise en scène Tinouche Nazmjou- Avec : Zahra Amir Ebrahimi, Baharan Baniahmadi, Golnaz Broumandi, Rezvan Zandieh et Omid HashemiTrois monologues pour trois femmes iraniennes, le combat et la résistance des femmes en Iran depuis un siècle. Les voix venues de l'outre-tombe, de femmes qui n'ont pas su comment vivre, mais qui ont su comment mourir...
20h Petite Salle : Les sœurs P.- Création théâtrale de la compagnie L s’en mêle, écrite, mise en scène et interprétée par Philomène Tulenew et Sylvie Laborie-Musique Enzo Laborie-Régie et montage vidéo : Emmanuel Dufoing
Une maison bourgeoise, un point lumineux quasiment imperceptible à la fenêtre d’une mansarde. Approchons-nous ! Y a-t-il quelqu’un à l’intérieur ? Deux ombres sur un mur blanc…Qui sont-elles ? que font-elles ? Laissons-les s’improviser dans notre imaginaire et nous transporter dans l’univers poétique et fantasmagorique des sœurs P.
Mercredi le 16 juin :
12h-15h Hall du Studio : séminaire de Philippe Tancelin
16h Studio : Battini
17h Petite Salle : Salle d’attente par la Compagnie de l’Escargot- Texte et mise en scène Maria Fonzino-Avec Pauline Christophe, Valeria Dafarra, Maria Fonzino, Benjamin Terranova-Elaboration Graphique: Gilles Bessou-Habillage sonore: Benoît Ruaul-lumiere et costumes Ateliers des escargots-Administrateur: Antonella Fonzino
Un soldat revient de l’Iraq, après la deuxième intervention de l’Italie dans le cadre de l’opération « peacekeeping ».
Une femme seule à la gare de Bologne, deux journalistes se battent pour la cause de la vérité et de l’informations. Leurs destins se croisent avant que tout disparaisse.
19h30 Petite Salle : Cinématon- Avec l'aide précieuse et les conseils de Gérard Courant,Marie Guibaud,Sabrina Gambu et tous les participants.
Un autoportrait de 3min20 peint par une caméra celle de Gérard Courant, vous connaissez ? Il s'agit du Cinématon, ce concept datant de 1978 dure encore aujourd'hui et se déplace à Paris 8 sous l'objeftif de Marie Guibaud. Professeurs et étudiants se sont laissés prendre au jeu, des autoportraits muets révélateurs de personnalités.
20h 30 Studio : Volaction - textes de Alain Astruc, Jean-Pierre Verheggen, Gherasim Luca, Charles Pennequin - Par le Théâtre d’Or - Avec Cécile Duval et Jean-Michel Susini
Voix et violon se mêlent dans une improvisation portée et structurée par lespoèmes. « Et alors c’est là, monsieur, qu’on est dans la transparence, car on estsorti, monsieur, de ce corps toujours pesant. »Alain Astruc
Fondée en Haïti, à Port-au Prince, la Compagnie Théâtrale Ayizan développe un jeu « exhibitionniste, absurde, gestuel », pour un théâtre singulier, conçu comme « une arme vibrante ».Ayizan est un mot d’origine africaine qui signifie « Palmiste Royal », emblême de pureté, d’éternité, de sciences et de routes astrales. En Haïti, le palmiste (Ayizan) symbolise la puissance, la liberté : historiquement très important pour la littérature, il tient un rôle de premier plan dans la légende du Vodou (vaudou) haïtien.
Dirigée par Georges Nesly, la Compagnie Théâtrale Ayizan compte parmi ses créations Métamorphose, de Frankétienne. Une vidéo témoignera de la démarche de la Compagnie Ayizan avant le séisme. Un échange s’ensuivra avec Georges Nesly. (Cette rencontre est à l’initiative du laboratoire d’Ethnoscénologie.)
Jeudi le 17 juin :
10h-13h Hall du Studio: « Méthodologie du travail théâtral : approche pratique du mime » par les étudiants de Benoît Turjman
Le public est invité à assister à un cours de mime suivi par les élèves de Licence 1 "Arts du Spectacle" de Paris 8. Archaïque et pourtant résolument moderne, brut ou sophistiqué, mais toujours fragile, le mime demeure l’art de l’interprète par excellence.
Atelier-Discussion animé par Jérôme Dubois et Youssef Haddad : aprés un compte-rendu synthétique des travaux pratiques réalisés par les étudiants de l'Université Paris 8 dans nos cours respectifs, des intervenants utilisant certaines techniques du théâtre au sein de leur pratique professionnelle spécialisée (en entreprise, hôpital, prison, clinique psychiatrique, maison de l’adolescence, maison de retraite, etc.), viendront présenter leur pratique et débattre des modalités selon lesquelles le théâtre peut être utilisé et adapté à des champs d’application non spécifiquement artistiques ; ils diront si possible la façon dont ils pensent que leur pratique est plus ou moins développée, insérée, reconnue, dans la société ; autrement dit, comment elle est perçue et reçue socialement de façon générale et par les populations avec lesquelles ils travaillent en particulier, avec les difficultés qu'ils ont pû rencontrer et ou rencontrent encore ; enfin ils mettront éventuellement en perspective des éléments de réponse pour une meilleure insertion et reconnaissance sociale de leur pratique.
Programmation spéciale Exposés/Performances des étudiants du séminaire de master « L'animal sur la scène contemporaine » avec Katia Légeret :
La chasse au tigre par Marie Julie Courage
Espaces verticaux, avec Yelena Moskovich, Tessa Hays-Nordin, Sofia Senna, Miguel Angel Torres
15h-15h30 : Souffledermie, par Leslie Auguste et Fabio Kinas
15h40-16h : Mise en scène d'extraits de La conférence des oiseaux de Farid-ud-Din Attar par Charlotte Ricci
16h10-16h30 : Le Nahual par Estela Ortiz
16h45-17h15 : Pingouin News de Sophie Honeyman-Wang et Huang Shu-Ping, avec la participation de six acteurs
Une performance tragi-comique qui cherche à questionner les thèmes de l'errance, de l'étrangeté, de la folie et de la vieillesse. Entre fiction et réalité, la scène devient le lieu privilégié où les comédiens évoluent au gré des émotions et des souvenirs évoqués dans et par une juxtaposition de voix, de gestes, d'images et de musique.
Rencontre poétique avec les artistes et étudiants du département théâtre de l'université Paris 8 formés en Inde et en France, autour de démonstrations et d'extraits de répertoires en Bharata-Natyam avec Manochhaya-Katia Légeret, Thomas Vovantao et Nancy Boissel ; Kathakali avec Laurène Petit ; Odissi avec Laurence Le Bail ; Kutiyattam avec Viviane Sotier et Vincent Gallet
Poèmes dits par Philippe Tancelin
Avec une présentation et une adaptation en Langues des Signes par Fanny Macé
Vendredi le 18 juin :
11h Petite Salle : La rue où le soleil se couche par Kailton Vergara
13h Petite Salle : Séminaire d’expérimentation de Master de Jean-François Dusigne :
Chercher les processus de jeu.
Qu’est-ce qui avance caché, qu’est-ce qui se trame sous les apparences ? A travers l’analyse et l’expérimentation de stratégies de jeu fondées sur l’écart entre le dire et le faire, entre le discours et le comportement, entre la parole et le geste, entre soi et le personnage, nous interrogeons les potentialités de «l’acteur-joueur».
Des textes, initialement non conçus pour le spectacle, servent de matériau de base, tel un discours, une conférence, un dialogue scientifique ou philosophique, un récit de voyage, une correspondance, un poème, ou encore un article en langue étrangère… Il s’agit de trouver comment mettre ces textes scéniquement en mouvement, c'est-à-dire chercher les conflits, donc les écarts qui permettent de créer une tension de jeu.
Nous nous proposons de mettre en correspondance les rêves, ambitions, déchaînements et désarrois de Stanislavski et de la troupe du Théâtre d’Art de Moscou, lorsque Nemirovitch-Dantchenko leur a fait découvrir la pièce de Tchekhov, qui a révolutionné la dramaturgie, et nos propres tâtonnements, aspirations, désespérances et cabotinages, à l’aube cette fois du XXIème siècle…
19h Studio : Les amours de Don Perlimplin de Federico Garcia Lorca-Par la Compagnie Le Théâtre Chut!-mise en scène par Jeanne Fleury-avec par ordre d'entrée en scène Marianne Rötig, Nicolas Liorel, Jeanne Fleury, Cécile Laforest, Liza Tourman et Maxime Bozonnet-scénographie par Jeanne Fleury-musique et décors par Christian Fleury -conception lumières par Bintou Sylla et Jeanne Fleury-équipe technique : Bintou Sylla et Gaël Orfila
Le théâtre Chut! est une association audonienne qui a vu le jour en Novembre 2008.La pièce en trois: Sur un fond voluptueux de magie andalouse, Perlimplin tire le fil de la folie:de la farce au drame, du désir à la mort, du rouge au noir, de l'instant à l'éternité...
Une nuit infestée d’alcool où la frontière entre la réalité et l’illusion est abolie…Qu'est-ce qui se cache derrière les masques sociaux de deux couples américains, assez ordinaires à première vue ?
Samedi le 19 juin :
Bienvenu dans notre émission-évasion autour de Federico Garcia Lorca. A travers de multiples témoignages se dessine le portrait d’un homme et de son œuvre.
Mise en scène par Justine De Cruz avec Floriane Jacob, Julie Thuillier, Justine De Cruz avec la participation d'Alexandre Fradin.
Récit émouvant racontant une histoire d’amour menant à une mort inéluctablement prochaine dans ces moment de la vie où tout semble arriver en même temps.
20h Studio : Banc’cale par la Compagnie Ana Mong- Conception, chorégraphie et mise-en-scène par Armelle Gassie et Alexandra Houlière- avec Nasim Eslami Lootij, Vincent Levesque, Solen Menguy, Solmaz Sajadieh, Gabriel Tamalet, Sardar Mohamadjani- composition musicale : Vincent Levesque- composition littéraire : Gabriel Tamalet
Les mouvements de contestations en Iran sont à la base de notre recherche artistique qui s'interroge sur l'instabilité dans les corps. Entre oppression et résistance, Banc'cale tente de goutter à la liberté...
Un homme reçoit une mystérieuse visite, un soir qu’il se lamente sur la mort de son amour, Lenore ; un corbeau perché en haut de sa porte, répète inlassablement « Jamais plus ». La répétition de ces mots lui plonge dans un désarroi si fort qu'il sombre dans la folie.
L'homme est un consommateur qui consume sa vie sans en avoir conscience. Mais lorsqu'il reprend sa vie en mains, alors les peurs s'effacent, on échange son savoir, et ensemble, tout peut commencer.
Costumes: Perrine Lenaert-Lumière: Irène Jargot-Voix Off: Xavier Sauvage
Mishima s’inspire ici de la force poétique du Nô traditionnel pour développer ses thèmes de prédilections : l’impossibilité à laquelle se heurte le désir amoureux, le tragique de la rencontre avec la beauté. C’est dans cet univers fantasmatique, profondément prenant que je cherche à entraîner le spectateur.
16h Grande Salle : L’inextricable Identité. Poétique de Nedjma d’après les textes de Kateb Yacine- Mise en scene de Mustapha Bouheddou- Avec Maika Etchekopar,Jena Benghrib ,Melanie Turf,Daun Jung,Keyla Benghrib ,Mustapha Bouheddou –Musique Chanson du serpent, Sergio Serviotta, Chant Maika,Rares Morarescu,Gera Bertolone,Juan Cruz Abdelraouf ,Helene Brouzing,Abderaouf Percussion-Montage Video : Frederique -Tournage : Massimo Poissanova-Lumière : Luigi D’Aria, Fabio Kinas
Pour s’aimer comme pour se déchirer, il faut être au moins à deux. Dans la rue des vandales aux Festival de l’histoire des Arts l’identité est poétique….Et Nedjma, ouvre la porte ou la fenêtre, ou parle ou crie ou chante ou pleur. Et…..fin M.Bouheddou
« Cent Heures », quatre jours et quatre heures, est le temps qu’il « Lui » est imparti afin de parcourir les étapes nécessaires à l’acceptation de son départ. Face à son échéance, le processus en cours l’amène à faire le point sur ses frustrations.
20h Petite Salle : 872 mil pesos , Adaptation libre du conte « La Increíble y Triste Historia de laCándida Eréndira y su Abuela Desalmada » de Gabriel García Márquez- Par la Compagnie Le Noed-mise en scène Emilio Goujon Garin- avec Arianna Berenice De Sanctis et Emilio Goujon Garin- chorégraphie et technique Paul Forigua
La jeune Eréndira met le feu accidentellement à la demeure qui l'abrite avec sa grand-mère. En conséquence, la fille devra la rembourser jusqu'au dernier centime entre les vents du désert du Macondoet la mer du Pacifique.
Notre corps, comme notre langage est un héritage, dansé, parlé, traversé et habité par des images et des mouvements qui appartiennent à d'autres. Les performances Innommables visent à créer une polyphonie de voix et de corps qui constituent une identité pour questionner la notion même d'identité et le goût marchand et bourgeois de l'originalité.
mercredi 9 juin 2010
jeudi 3 juin 2010
jeudi 20 mai 2010
H to H - 10/12 Bruxelles
lundi 26 avril 2010
Performance/installation de danse/théâtre H to H au 10/12 - Bruxelles

H to H
Le dimanche 9 mai 2010 à 19h
au
10/12
rue de la Grande île 12
1000 Bruxelles
H to H remplace les mots du titre de la chanson de David Bowie, « Ash to ash » pour la lettre qui garde le phonème en français. Des cendres aux cendres. Mourir pour renaître. Le sens premier est retenu, mais caché derrière le deuxième sens : H de l'hommage et H de l'héritage. Un hommage à Pina Bausch, La Ribot, Susanne Linke, Kafka, Beckett, Deleuze, Cindy Sherman entre autres, comme des formateurs et porteurs d'un discours qui devient, par emprunt, celui du performer. Rendre hommage à ceux qui ont fait de leurs discours une traduction du « leur moi » personnel, du quels je suis l'héritier. On n'emprunte que ce qui est déjà « empreinte » en nous.La traduction par un corps masculin féminin dans son écart invente ici une sorte de figure qu'on pourrait appeler « transgenre », quelqu'un qui cherche un devenir à travers l'agencement de son individualité et ses multiplicités.
"Si c'est tellement difficile, être « comme » tout le monde, c'est qu'il y a un affaire de devenir." - Gilles Deleuze
Création, chorégraphie et mise en scène: Biño Sauitzvy
Avec: Biño Sauitzvy et Thomas Laroppe
http://www.10-12web.blogspot.com/
En Mutation



jeudi 1 avril 2010
Innommables n°2 - Pièce pour rien dans l'ère de la reproductibilité

http://lucileadam.free.fr/ColldesYeux/Fly/Innommables2-YonoBar.pdf
mercredi 24 février 2010
Dans Ce Partage

mardi 23 février 2010
La Divina - Festival Dance Box Version Clip 2010

mardi 2 mars 2010 à 20h30 - Version Clip - 1
Odile NOEL-SHINKAWA
Bino Sauitzvy
Marguerite PAPAZOGLOU
Compagnie MU
YANO dance Compagnie
Vasilakos Taxiarchis, Dakovanou Xanthoula
CIE KAMELEONITE ET CIE EXOCET
mardi 9 mars 2010 à 20h30 - Version Clip - 2
Yuko Ota
Bino SAUITZVY
Hanako DANJO et Sophie Malraye
Vasilakos Taxiarchis
Elisabeth DAMOUR et Pétra KOROSI
Gaëtan SATAGHEN
CIE KAMELEONITE ET CIE EXOCET
mardi 16 mars 2010 à 20h30 - Version Clip - 3
Lucie BETZ
Cie"Ma" Thierry Castel et Sachiko Ishikawa
YANO dance Compagnie
Ippei HOSAKA et Miki TAJIMA
tombo
Azusa TAKEUCHI
samedi 20 mars 2010 à 20h30 - Version Clip - 4
Hanako DANJO et Sophie MALRAYE
Ippei HOSAKA et Miki TAJIMA
Azusa KUROKAWA avec MESSE BASSE
tombo
Compagnie MU
RIKA HINATA, AKANE TAKASUGI
« La Divina »
Version CLIP
02 et 09 mars
Performance Danse/théâtre
Performance: Biño Sauitzvy
Création et chorégraphie: Biño Sauitzvy et Nando Messias
Production: Le Collectif des Yeux
Durée: 10'
Musique: Billie Holiday
"Inspirée du travesti Divine de Jean Genet, la Divina est née de la rencontre des mots de l'auteur et de l'univers personnel du performer.
C'est ce dernier qui cherche le point d'équilibre entre l'ironie tragique et ludique, le point instable qui l'amène vers un absurde presque grotesque. La cruauté du besoin insatisfait d’amour, la différence des sexes et des désirs, l’incommunicabilité, l’éternel besoin d’être aimé, la quête de son indentité dans un monde individualiste."
vendredi 5 février 2010
Vidéos d'Antony Hickling
Le premier dans un trilogie de « Confessions intime.. » Un court film/vidéo performance de Antony Hickling The first chapter in a trilogy of three "intimate Confessions." A short film/ video performance by Antony Hickling
http://www.youtube.com/watch?v=yZV3ZrOYItg
Confession 2 - Slut mannequin de la mode 1
Le deuxième dans un trilogie de « Confessions intime.. » Un court film/vidéo performance de Antony Hickling The second chapter in a trilogy of three "intimate Confessions." A short film/ video performance by Antony Hickling
http://www.youtube.com/watch?v=WkTUL7qkPrM
Confession 3 - Slut mannequin de la mode 2
Le troisième dans un trilogie de « Confessions intime.. » Un court film/vidéo performance de Antony Hickling The third and final chapter in a trilogy of three "intimate Confessions." A short film/ video performance by Antony Hickling
http://www.youtube.com/watch?v=RSc_daLsFwg
dimanche 6 décembre 2009
46 sous la couverture... - Exposition collective autour du livre d'artiste

jeudi 10 décembre, à partir de 18 h, à la librairie-galerie Le Monte-en-l’air
– 6, rue des Panoyaux – Paris XXe.
...
Réaliser un livre d’artiste en 27 heures à partir d’un livre existant...
Le livre est souvent considéré comme un objet sacré, le détruire relève du blasphème, mais qu’en est-il si sa destruction est un prétexte à la création ? C’est sur ce dilemme qu’est née l’envie de cette exposition collective : proposer cette problématique à des artistes et voir comment chacun s’en empare, plonge au cœur du sujet ou au contraire le détourne pour mieux se l’approprier. Nous avons volontairement fait appel à des artistes qui abordaient la création par des médias différents : architectes, couturières, peintres, vidéastes, danseurs, comédiens, illustrateurs... car ce qui nous intéresse dans cet exercice de style, c’est la diversité des propositions, la disparité des œuvres et la rencontre des univers.
46 sous la couverture :
Sayaka Abe - Lucile Adam - Beatrice Alemagna - Géraldine Alibeu - Atelier 25 - Astrid de l’Aulnoit - Marianne Barbeau - Merlin Borg - Célia Callois - Magali Cazot - Ivana Cerovic - Zoé Chantre - Choukette - Sarah Cohen - Élise Cordeau - Céline Coyac - Claire Daguerre - Maddalena De Giorgio Fragnito - Nathalie Dona - Sandra Dufour - Françoise Goudou - Leslie Guivarc’h - Elisa Ingrassia - Joseph Lapostolle - Eva Largo - Edwige de Lassus - Lika Guillemot - Chloé de Lustrac et Baptiste Montenai - Chloé Marquaire - Celawhat - Chloé Mazlo - Julien Mélique - Béatrice Meunier - Douce Mirabaud - Alexandra Monvoisin - Ingrid Monchy - Lucile Nabonnand - Marine Paris-Fenwick - Magali Revest - Séverine Saint-Maurice - Anne Strenger - Juliette Thomas - Catherine Ursin - Flora Viguier - Wandrille - Élise Wilk Tatin
Éditions Graine d'encre
102, rue Saint-Maur
75011 PARIS
lundi 23 novembre 2009
Festival A Pas de Corps

Le Collectif des Yeux au « Festival A Pas de Corps - Festival de danse / Formes courtes autour du mouvement. »
Le 26 novembre 2009,
19h30:
H to H
H de l'hommage et H de l'héritage. « S'il est tellement difficile d'être comme tout le monde, c'est qu'il a un affaire de devenir. » Deleuze
Avec Biño Sauitzvy
10'
Innommables n°1 – objet chorégraphique portable
Le corps est parlé, dansé, traversé, habité par des images, des mouvements. Le corps est une caisse de résonnance, un écho aux images subies ou désirées.
Chorégraphie: Biño Sauitzvy
Avec Luciana Dariano, Fabiola Biasoli, Magali Gaudou et Omid Hashemi.
20'
Le 27 novembre 2009,
20h30:
La Divina
Inspirée du travesti Divine de Jean Genet, La Divina cherche le point d'équilibre entre l'ironie tragique et ludique, le point instable qui amène vers un absurde presque grotesque.
Création: Nando Messias et Biño Sauitzvy
Avec Biño Sauitzvy
10'
Innommables n°2 – Pièce pour riens dans l'ère de la reproductibilité
Tout a été déjà fait, sauf moi, qui suis en train de me faire, et l'autre aussi.
Chorégraphie: Biño Sauitzvy
Avec Luciana Dariano, Magali Gaudou, Omid Hashemi, Frederico Zartore, Armelle Magnant, Kena Cuesta et Fabiola Biasoli
25'
Au Théâtre de la Girandole
4, rue Edouard Vaillant 93100 Montreuil
M° Croix de Chavaux, ligne 9
théâtre.girandole@free.fr
réservation: 01 48 57 53 17
theatre.girandole@free.fr